Hélène Avérous découvre le bonheur et la joie de s’exprimer à travers la peinture et l’écriture au cours de ses nombreuses années passées en Asie du Sud-Est.

Lors de cette période de profonde introspection et transformation personnelle, le besoin de créer et de s’exprimer à travers l’art est tout naturellement venu à elle.

Autodidacte à l’origine, elle expose très rapidement à Singapour sur des thèmes liés à l’enfance et au yoga.

Baignée dans une culture nouvelle et nourrie par les enseignements sur la non-dualité, elle profite également de ce séjour asiatique pour se former aux techniques et à l’esprit de la peinture traditionnelle chinoise, principalement auprès de Junneng Lin avant de revenir en France en 2016.

Encouragée par ses amis, elle franchit le pas et expose ses encres de Chine en 2019.

Profondément touchée par l’accueil du public, elle commence à réaliser la puissance de l’art à communiquer ce qui ne peut l’être autrement que par la magie du silence.

Au cœur de ses créations, elle reste profondément attachée à l’esprit de l’Asie, à la soif de Vérité, de paix et d’harmonie.

Elle aime la solitude intérieure et se laisser disparaître au cœur d’un paysage ou d’une forêt.

L’encre de Chine lui permet d’allier les cultures qui marquent son existence, en invitant le spectateur à se laisser surprendre par la force et la finesse des contraires comme le vide et le plein ou le visible et l’invisible et à ressentir le souffle à la source de toute création.

helene

Hélène par Vincent

« La rencontre avec Hélène s’est faite tout simplement, à l’occasion de sa visite dans mon atelier. Nous avons échangé sur l’art et le rôle d’un artiste, et avons rapidement constaté que nous nous comprenions.

C’était simple, sans heurts, dans le calme et l’écoute.

Je souhaitais alors naturellement découvrir son travail !

Elle me présenta ses encres qu’elle n’avait jamais exposées, avec une belle humilité.

Et là , je l’ai vue en miroir. Son travail était un véritable autoportrait : une force tranquille, la sûreté des coups de pinceau et surtout un détachement exceptionnel qui anime ses œuvres d’une sincérité remarquable.

J’étais emballé ! Il était évident que je voulais exposer avec Hélène.

Il me restait à la convaincre. Alors, sans qu’elle s’en rende compte, je l’ai accompagnée tranquillement jusqu’à ce qu’il lui paraisse évident que nous devions nous lancer dans l’aventure d’une œuvre commune.

Et aujourd’hui, nous y sommes ! »